Mon cher enfant,

Je te conduis par des chemins bien difficiles. La douleur ronge ton cœur et les questions s’y bousculent. Je le sais, tu ne vois que l’obscurité et les larmes coulent ; mais même si aujourd’hui tu ne peux comprendre mon plan, gardes confiance !.

Souviens toi qui je suis. Avant que le ciel et la terre ne fussent, je te voyais déjà.

J’avais déjà choisi que tu deviennes un homme/une femme tout à fait spécial (e), particulier (e), unique, un chef d’œuvre de mes mains.

J’avais pensé à tous les petits détails te concernant. Qui ? Comment ? Et pourquoi tu devais être.

Ainsi surgit pour ta vie un plan merveilleux, glorieux.

Et lorsque le temps fut arrivé, je t’ai créé dans le sein de ta mère. Ton corps, ton esprit et ton âme, tes qualités, tes limites, tout a été spécialement façonné pour toi et pour la place que je te donnerais.

J’ai pensé à tout ce dont tu aurais besoin, je n’ai rien oublié. J’ai même prévu comment je te restaurerais quand le péché aura tout mis en œuvre pour détruire mon plan parfait pour toi. J’ai prévu comment te redonner ta dignité quand par désobéissance tu t’éloignerais de mes commandements et que tu te serais abîmé (e).

DONC :

Fais moi confiance, ne te décourage pas !

Fais-moi confiance dans l’adversité aussi.

Je prends soin de toi et te conduis sur le bon chemin. Ce n’est pas à toi d’assumer cette responsabilité, laisses la moi, c’est à moi.

Souviens-toi de toutes les nombreuses marques de mon amour et saches que c’est moi qui te conduis sur ce chemin là.

Ma vision est bien plus lointaine que la tienne ; j’ai une vue d’ensemble parfaite.

Un jour tu comprendras avec émerveillement pourquoi je te conduisais dans cette voie là et tu me glorifieras.

Je ne demande de toi que confiance et obéissance, plus tard tu comprendras.

Mais sois en certain (e), même si tout semble prouver le contraire : ce chemin est un chemin de bénédictions.

Je n’ai pas commis d’erreur, je n’ai rien oublié. Au contraire je suis justement en train de réaliser mon merveilleux plan pour ta vie.

Alors gardes le silence et laisses mois agir !

Et n’oublies jamais, entends-tu, jamais, même dans la nuit la plus sombre, que je me tiens près de toi. Car mon amour s’adresse à toi et rien, absolument rien ne pourra te séparer de moi. N’oublie pas non plus le prix inestimable qui a été payé par mon fils pour toi, et cela parce que tu as une valeur inestimable pour moi, tu es précieuse à mes yeux et je ‘aime plus que tu ne peux l’imaginer, comme personne ne peut t’aimer.

Alors tiens bon courage, fais moi confiance et loues déjà mon nom pour ta délivrance qui arrivera bientôt, elle n’est pas loin, attends-la.

Dieu, ton père qui t’aime.

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